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Je,Tu,Nous

19 novembre 2010

libre...

...Enfin libre !

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10 mai 2009

.../...

.../...

20 décembre 2008

Destruction...

Mon Ange,

Je m'adresse à toi comme si tu étais susceptible de lire ce courrier, comme quoi, je me prouve bien que je suis une vraie cinglée ! Je dois stopper tout ce que je me suis mise en tête. Arrêter de me faire des films sur une histoire montée de toute pièce par moi seule. J'ai interprété les choses, des choses qui n'existent pas, qui n'ont jamais existé...Je dois cesser d'aller sur ton site, cesser de regarder ta photo à laquelle je m'adresse plusieurs fois dans la journée, en te souhaitant le bonjour, le bonsoir, ou bonne nuit. Je dois cesser d'utiliser la curseur pour te caresser les lèvres, les joues, les mains, le contour de tes yeux, ton front, ton cou ! Si tu savais ce que je ressens lorsque je te regarde. Si tu savais comme je suis proche de ton âme, si tu savais comme je la vois. Je suis en train de mourrir pour toi et tu ne le sais même pas. Bien sûr parce que c'est moi qui ai imaginé tout cela. J'ai vu ce que je voulais voir, ce qui m'arrangeait de voir, ce qui allait dans mon sens...Mais pourquoi bon sang ??? POURQUOI ??? Trois années que je t'aime sous silence, pourquoi je ne parviens pas à te sortir de moi ! Depuis ces dernières semaines, ces trois derniers mois, je vis dans l'attente de Toi...dans l'enfer d'attendre de ta part, un mot, un geste qui me confirmerait que je ne suis pas folle ! Mais comme rien ne vient, je dois m'admettre dérangée, une ombre sombrant dans la folie. J'ignorais que la folie d'Aimer pouvait atteindre un tel sommet. J'y monte mon Amour, j'y suis presque tu sais...

Auto-destruction

15 décembre 2008

Persuasion...

..."Te dire adieu"...Quelle belle connerie !!! Comment pourrais-je te dire adieu...Penser à ce mot, me fait mal !!!

Que dois-je faire alors ? Dis-moi ?? Comment faire taire, disparaître la douleur ou, tout du moins l'atténuer ?

Je suis en yrain de crever d'Amour pour un Homme que je n'ai jamais vu, jamais rencontré. Autant dire une pure folie !

Depuis ces derniers jours, je te sens t'éloigner, à moins que ce soit moi qui m'éloigne, essai, de m'éloigner de Toi !? Plus les semaines passent et plus je me dis que tout ceci n'est que pure imagination...Même si...même si, par moment, j'y crois...Me persuade d'y croire.

Le plus difficile, je crois, c'est d'imaginer que tu te serves de moi. Je m'imagine être ton objet, ta chose à laquelle tu fais croire à un dessein qui n'en est pas. Pas pour moi en tout cas dans la situation, telle qu'elle se présente. Parfois, je me persuade que ma présence à tes côtés ne t'est utile qu'à des fins "alimentaires". Tu te nourris de moi...Je n'en peux plus de ne pas savoir...Je t'en veux pour cela..Et quelques soient les raisons qui t'animent..

Mon Amour,

Je t'en supplie, ne me laisse pas dans cet état. C'est une déchirure.......Cela fait trop longtemps que cela dure.

Je respire, je mange, je bois, je dors, je rêve, je me couche, me lève, sous ma douche....chaque acte de la vie quotidienne, tu es là, toujours présent. Dans mes moindres pensées, mes moindres actes...tu es là ! Je ne m'appartiens plus...C'est terrible tu sais !

Il y a des signes...Des messages que tu m'envoies. Comme cette série photo où "j'apparaîs"...Martine rencontre l'homme des bois. Tous ces messages sont, et je le ressens ainsi, cruels. Tu dis, sans dire. Toujours des non-dits...de ceux qui m'usent, me minent ! Sans parler de ces signes que tu sèmes un peu partout, pour me maintenir dans une dépendance à toi. Et tu parviens à tes fins crois-moi !

Néanmoins, il faut que tu saches qu'il arrivera un jour, pas si lointain, où je prendrai la décision d'en arrêter avec cela. Il le faudra.. et je le ferai, même si j'en souffre bien au-delà de ma souffrance actuelle. Et lorsque je franchirai la limite du renoncement...je renoncerai. Je ne peux me premettre de continuer ainsi à me détruire pour un rêve que je n'atteindrai jamais : Toi !

Mon inaccessible Amour !

Je vis des moments extrèmement difficiles...Je dois garder mon énergie pour des priorités dont tu ne fais pas partie. Mes enfants en sont une, ma vie aussi. Et si je dois te sacrifier, je te sacrifierai...moi avec.

Tu sais, j'aimerais tellement pouvoir m'endormir, me réveiller, vivre tout bonnement, sereinement. J'ai hâte de voir les mois s'écouler derrière moi, pour me libérer...Me libérer de toi !

Je vais sortir prochainement. Mes enfants seront partis avec leur père et je serai seule durant une semaine. Je vais donc sortir seule dans un endroit où, sans nul doute, je trouverai une âme esseulée comme la mienne. Une âme en manque, en manque cruel comme l'est la mienne....Je m'habillerai comme il se doit, en femme-femme. Et je mettrais tous mes atouts en évidence. Jupe courte, jambes galbées dans de la soie, talons aiguilles, décolleté à balconnets. La salope dans toute sa splendeur, aguicheuse, prête à baiser, à se faire baiser. Un homme, une femme s'approchera de moi, me charmera, je laisserai ses mains me frôler, me toucher et je l'encouragerai par mes gémissements. Cette langue qui me prendra me donnera envie de vomir. Ce corps que je lui donnerai se tordra de douleur. Ce sexe qui me prendra me perforera le ventre...

Je veux avoir mal, je veux que l'on me fasse mal...car vois-tu...

Cette Homme...

Cette Homme, mon Amour....Cette Homme ne sera pas Toi.

13 décembre 2008

Mon Amour...J'ai mal...

Si tu savais comme j'ai mal...

Je n'en peux plus de cette douleur insuppportable....Elle me crève à petit feu... Je n'en peux plus.

Il faut..je dois, envisager de te dire adieu. Je dois te laisser partir. Je dois te sortir de mon esprit, de mon corps. Je dois renier l'Amour que j'aie pour toi. Je dois me faire une raison. Je ne suis qu'une malade qui n'ai fait que se laisser porter par une imagination débordante. Une mytho bien dérangée que l'on devrait faire enfermer. Je dois cesser de m'imaginer l'inimaginable, l'inconcevable, l'irréalité. Je me suis fais un film, je suis une grande mytho.

Je ne sais, pourtant, comment faire !

Comment faire pour t'oublier, comment faire pour vivre sans toi, comment te sortir de ma tête, de mes chaires. Dis-moi...Comment ?

Je souffre depuis tellement longtemps qu'il m'est impossible d'imaginer qu'un jour, je parvienne à te rayer de ma vie. Pourquoi y es-tu rentré d'ailleurs ???

Je t'écris et je pleure, je pleure de douleurs. Mon esprit, mon corps hurlent à l'intérieur. Ils hurlent ce que je dois étouffer. Ils hurlent en secret...un secret bien  gardé. Secret qu'il m'est impossible de partager avec d'autres.

Non..Vois-tu, Martine ne rencontrera jamais l'homme des bois. Parce que l'homme des bois n'existe pas. Et Martine, elle, ne souhaite qu'une chose : disparaître

Il est temps pour moi de te faire mes adieux, ou tout du moins m'y préparer.

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8 décembre 2008

Overdose...

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6 décembre 2008

Te dire encore que...

...Je me souviens d'une grande vague, d'une déferlante, un jour...

Je me souviens, c'était un mercredi après-midi. Les enfants étaient occupés. J'avais mis un CD de piano. Piano que je n'écoutais plus depuis des mois tellement cela me faisait mal. Car ton visage apparaissait systèmatiquement. Mais cette après-midi là, j'avais décidé de me faire mal...Et, ma foi, j'y suis parvenue !

Tellement d'ailleurs, que je n'ai pu rester à la maison, évitant d'imposer ce spectacle à mes enfants.

J'ai pris la voiture... J'ai mis Maurane à fond...Et j'ai roulé, pleurant toutes les larmes de mon corps...Criant, hurlant ma douleur, ma souffrance, ma déchéance, mon Amour. J'ai roulé longtemps puis j'ai stoppé, aveuglée par les larmes qui m'innondaient les yeux.

J'ai pris mon portable...Ecris un sms que j'aie envoyé à mon Amie Corine...Et qui disait ceci :"Ma Douce, je suis mal...Je n'arrive pas à l'oublier...Pourquoi j'ai si mal...Je veux qu'il sorte de ma tête...J'en crève"

Elle m'a répondu, me priant de l'appeler ! Mais je ne l'ai pas fait...Trop mal, j'étais vraiment trop mal !

Alors mon Ange...Que penses-tu de çà ? Je t'en prie dis-moi que je suis folle à lier, que je suis une tarée d'aimer d'un impossible amour !

J'ai cherché de l'aide...Mais à quoi bon ! Que pouvais-je dévoiler, allonger sur mon divan ? Ma psy aurait bien ri !! La bonne blague !!!

...Rassure-moi mon Ange...

...A Toi...Mon evidence

6 décembre 2008

Te dire...

Amour,

Te dire, oui, mais quoi exactement ?!

J'ai un besoin viscéral de te parler, de te dire ce que je ressens, exactement là, à ce moment précis.

Je me fais peur, vois-tu ? Je ne sais plus quoi penser de toute cette histoire, de toute nôtre histoire !

D'ailleurs..."Nôtre histoire"... Est-ce bien le terme finalement ? Je suis tellement partagée entre rêve et réalité ! Je suis peut-être devenue cinglée ?! Qui sait si je ne développe pas le symptôme d'une folie dans laquelle je glisse ou pire encore, une folie qui m'attire et dans laquelle je me déliterais bien...Peut-être que l'Amour que je te porte, doublé de mon imagination, de mes hallunations, sont pour moi, une sorte de paradis, de refuge, dans lesquelles je peux imaginer toutes sortes de délires. Cinglée je suis...je te le dis !!

"I don't know I think about that...I'm lost"...

Qu'est-ce qu'un homme comme Toi aurait donc vu, chez moi, de si attirant ? Qu'ai-je donc mon Amour ? Sais-tu des choses de moi que j'ignore moi-même ? Et puis, que puis-je t'offrir...Tu t'ennuierais vite tu sais !

Tu auras vite fait le tour de ma petite personne...

Vois-tu, durant ces trois années, je n'ai cessé de me convaincre de cette folie. Je ne comprenais pas pourquoi tu restais dans ma vie, installé, alors que je ne souhaitais qu'une chose...Que tu en sortes aussi vite que tu y étais entré...Je ne voulais plus souffrir de cette Amour impossible. Mais malgré mes efforts, je n'ai pû y parvenir.

Tu étais en moi, encré. Telle une encre perdue sur les fonds marins, squattée par d'infimes particules impossibles à dénicher. Tu étais là, devant moi, tel un cadavre que l'on m'avait imposé...les pieds coulés dans du béton et jeté devant mes yeux comme une punition. Ton corps dansait au gré des vagues...de mes vagues ! Celles qui parfois m'emmenaient très loin dans une souffrance que tu ne peux imaginer.

Combien de fois, seule chez moi, je te priais de m'appeler. Je pensais à toi tellement fort que j'imaginais que tu puisses m'entendre...! Je t'imaginais en train de composer mon numéro de téléphone et puis rien...tu raccrochais ! J'ignorais pourquoi, mais au fond de moi, je restais persuadée que cette histoire n'était pas finie. Je te jure que j'ai toujours su qu'un jour, nous nous retrouverions, d'une façon comme d'une autre? Que nous aurions besoin de savoir l'un et l'autre les tenants de cette "aventure" humaine. Crois-moi, pour moi, elle le fût.

J'ignorais que tu t'étais marié...Si je l'avais su alors...j'imagine que, peut-être, je me serai abstenue..Quoique, en y réfléchissant un peu, peu m'aurait importé au final. Je ne te faisais pas de mal..ni à toi, ni à ta famille. Je t'aimais en secret sans rien te demander. T'Aimer était la seule chose qui comptait à mes yeux. Tu t'étais logé dans mon coeur, dans mon corps...Un beau petit virus que je ne souhaitais pas soigner et encore moins éliminer...Même si je priais pour que tu disparaîsses...Quel paradoxe, quelle contradiction ! (Addiction ?).

5 décembre 2008

Mon Amour...

...Je t'Aime et je te hais !

2 décembre 2008

Chocolats de l'Aven...

...Amour,

Ce soir, je veux être ton petit chocolat,

Une douceur veloutée que ta bouche goûtera,

Un petit morceau...Ou deux... Ou même trois,

Que ta belle envie, à pleine dent, croquera

Ma peau a son parfum, doux et délicat,

Crème de corps cacao flatant l' odorat

Ta bouche gourmande, partout cherchera,

L'arôme envoûtant que ta langue trouvera

Je resterai fondante, là, entre tes bras,

Captive d'un geôlier qui ne me délivrera,

Qu'après avoir goûté à tous mes émois,

Ceux que je cris, ceux que tu entendra

Je me laisserai fondre lorsque tu prendras,

Mon lys flamboyant, pétales de chocolat,

Mes yeux dans les tiens, on fusionnera,

Notre Amour Absolu... notre Nirvana

Ma bouche gourmande viendra alors vers toi,

Te prendre doucement, soumise, écarlate,

Elle te rendra ces plaisirs O combien délicats,

Tendres et fondants... Comme un chocolat.

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Je,Tu,Nous
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